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Bienvenue

à la Commission suisse pour la conservation des plantes cultivées (CPC)

 

 

Bienvenue

La Commission suisse pour la conservation des plantes cultivées (CPC) 
vous souhaite beaucoup de succès dans vos projets durant cette année.

 

 

FRUCTUS a désigné la poire Schafenbirne du Toggenbourg comme variété fruitière suisse de l'année 2024. Les petites poires turbinées aux sépales rabattus en étoile sont remarquablement jolies (photo en première page).

NEWSLETTER CPC

Automne 2020

Chers membres de la CPC et intéressés

Nous sommes ravis de vous proposer une journée d'information RPGAA sur l'agrobiodiversité le 12 novembre 2020. Cet évènement aura lieu à l'Inforama Rütti de Zollikofen et sera également diffusé en webinaire. L'inscription est ouverte jusqu'au 20 octobre.

Avez-vous facturé, en tant que preneur de projet PAN, la totalité des moyens financiers pour l'année en cours? Le délai est le 31 octobre.

Des nouvelles du comité CPC concernant la loi phytosanitaire et les dérogations pour les RPGAAvous attendent ci-dessous.

Dans cette newsletter, vous trouverez aussi des informations sur la première collection de cryoconservation PAN en Suisse, puis sur l'évènement "Semences pour le futur" qui a eu lieu à Zürich le 18 septembre.

Nous vous souhaitons une bonne lecture et une belle suite d'automne.

Restez en bonne santé !

Le bureau de la CPC

Du côté de la CPC

Journée d’information de la CPC sur l’agrobiodiversité

Notre congrès annuel RPGAA sera une journée d'information et aura lieu le jeudi 12 novembre 2020 à l'Inforama Rütti de Zollikofen BE.

Comment la diversité phytogénétique des RPGAA s’intègre-t’elle dans les systèmes agroécologiques et comment pouvons-nous promouvoir son utilisation ? Des objectifs clairement définis et mesurables pour les politiques seraient-ils utiles ? Ces questions fondamentales seront au cœur des présentations et des discussions de la journée. Dans le cadre de « Portraits de ferme », deux pionniers de l'agroforesterie expliquent leurs succès et problématiques agroécologiques avec les variétés anciennes.

L’évènement pourra être suivi sur place à Zollikofen ou en webinaire. Une traduction simultanée (allemand, français) sera organisée.

Découvrez le programme de la journée ici.

Pour vous inscrire

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Information aux preneurs de projets PAN : facture au 31 octobre 2020

Si vous n’avez pas encore demandé la totalité des moyens financiers pour l'année en cours veuillez le faire avant le 31 octobre. Dès lors, plusieurs cas de figure :

  1. Vous avez déjà fait une demande de versement à hauteur de 60% pour l’année 2020: il vous reste à faire une demande pour les 40% restant.
  2. Aucune demande de versement n'a encore été réalisée pour 2020: il vous suffit de faire une facture pour le montant total pour l'année 2020.
  3. Vous avez effectué moins de travail que prévu et cela n'entraînera pas de travail supplémentaire dans les années à venir : il faut faire une facture pour le montant réduit.

Pour les projets P et S, un décompte annuel provisoire doit être envoyé à genres@blw.admin.ch avant la facturation. Les formulaires sont disponibles sur le site internet de l'OFAG.

La facture doit être établie sous forme de facture électronique ou envoyée en format PDF par e-mail à PDF-Rechnung@efv.admin.ch .

N'oubliez pas d'inclure le numéro de projet (06-PAN-xxx ou RPGAA-NN-xxxx) et le numéro de contrat (numéro à 9 chiffres) sur chaque facture. En cas de facture incomplète ou incorrecte, la facturation électronique sera rejetée.

Facturation électronique:

eBillAccountID Postfinance                           41100000125631242

Swisscom Contextrade ID                              41301000000178076

Adresse pour la facture PDF par email         PDF-Rechnung@efv.admin.ch

 

Plus d'informations:

genres@blw.admin.ch

https://www.blw.admin.ch/blw/fr/home/nachhaltige-produktion/pflanzliche-produktion/pflanzengenetische-ressourcen/nap-pgrel.html

http://www.cpc-skek.ch/fr/programme-pan.html

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Assemblé générale à Soleure

Une trentaine de participants a participé à l'assemblée générale de la CPC du 27 août au monastère des Capucins à Soleure. Nous y avons accueilli le Château de Prangins - Musée national Suisse en tant que le plus jeune de nos membres.Vers le Procès-verbal

Le rapport annuel 2019 a été présenté à L’assemblée. Les activités de la CPC ont été nombreuses, en voici deux principales en bref :

  • Le nouveau droit sur la santé des végétaux a été central avec la prise de position sur la nouvelle ordonnance phytosanitaire du DEFR et du DETEC, l’élaboration de propositions de solutions, la recherche de dialogue et la collaboration avec le SPF, un article dans Hotspot et la journée d’information en novembre (congrès RPGAA) dédiée à ce sujet.
  • Sondage après des membres preneurs de projets PAN et rapport à l’OFAG avec des questions ouvertes comme sur les décisions de non financement d’un certain nombre de jardins de démonstration. Invitation de l’OFAG en mars à Munsingen et prise de position de Tim Sprenger.

Le rapport annuel complet 2019 peut être consulté ici

Notre président de longue date, Roni Vonmoos-Schaub, ainsi que notre vice-président, Robert Zollinger, ont quitté le comité de la CPC après de nombreuses années d’engagement. Pour les remplacer, Tizian Zollinger en tant que président et Eva Körbitz en tant que nouvelle vice-présidente ont été acceptés à l'unanimité par l'assemblée. En outre, nous accueillons également un nouveau visage au sein du comité avec Franca dell'Avo.

Le comité a présenté le point le plus actuel concernant le suivi de l’application du nouveau droit sur la santé des végétaux et les dérogations pour les RPGAA. Ce sujet fait l’objet d’un article séparé, à lire ici.

 

Plus d’informations:

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Législation phytosanitaire et dérogations pour les RPGAA: état actuel des clarifications avec le Service phytosanitaire fédéral

Lors de l’assemblée générale de la CPC à Soleure le 27 août, l’état actuel relatif au passeport phytosanitaire pour les RPGAA fut présenté par le comité. La présentation est disponible en bas de l’article et les points principaux sont livrés ci-après.

La législation phytosanitaire s’adresse principalement aux grands flux de plantes et les échanges de matériel entre les particuliers qui concernent de petites quantités, ne constituent pas de problème.

À des fins commerciales et professionnelles, le matériel végétal peut être déplacé mais uniquement avec un passeport phytosanitaire. Toutefois, une dérogation peut être soumise. Si du matériel végétal sans passeport phytosanitaire doit être utilisé à des fins commerciales et professionnelles, une demande doit être présentée sous forme de liste : quelle culture est concernée, quand a-t-elle été récoltée, type de matériel et origine (localité). La demande sera traitée rapidement (environ 14 jours). Le permis est valable 1 an et les cantons qui ont approuvés la demande sont énumérés, le permis spécial n'est valable qu'en Suisse, la taxe pour le permis spécial est de 50 CHF.

Pour obtenir le statut de passeport phytosanitaire, le matériel doit être mis en quarantaine pendant une certaine période. La période de quarantaine varie d'une culture à l'autre (quarantaine au champs, quarantaine en serre) et est définie individuellement selon les besoins. Le matériel avec passeport et le matériel sans passeport ne doivent pas être mélangés. Un passeport doit être demandé pour le matériel végétal revendu à d'autres entreprises. S’il est transmis à des particuliers, le passeport phytosanitaire n'est pas nécessaire.

L'instrument des dérogations est destiné uniquement aux cultures agricoles. Mais que sont exactement les plantes agricoles ? L’» agriculture »  est interprétée au sens large par l'OFAG et de nombreuses plantes entrent dans cette catégorie. Par exemple, les plantes médicinales et aromatiques peuvent être considérées comme des cultures spéciales dans l'agriculture. Les zones avec des haies, des bosquets et des cordons boisés font également partie des surfaces agricoles.

Déplacement de matériel sans passeport vers des parcelles contenant du matériel non agricole avec passeport : les dérogations ne fonctionnent pas ici, mais l'outil "dérogations ad hoc" existe. Pour cela, le déplacement prévu doit être décrit à l'OFAG. Des experts inspecteront les plantes et les parcelles sur place et, en fonction des résultats de l'inspection, ils décideront si le déplacement est autorisé ou non. Cette inspection est soumise à une redevance.

Depuis peu, il est à nouveau possible d'effectuer les échanges de matériel entre privés à distance (site internet, envoi postal) mais uniquement s’il s’agit de ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture (PGREL). Les plantes ornementales sont donc exclues.

Toutefois, des mesures urgentes peuvent être édictées afin d’empêcher l’introduction et la propagation d’organismes nuisibles, comme c’est le cas actuellement depuis les annonces d’infestations dans toutes l’Europe par le virus du fruit rugueux brun de la tomate :

Obligation de passeport phytosanitaire pour les semences de tomates et poivrons

Afin de prévenir l’introduction du virus du fruit rugueux brun de la tomate (Tomato Brown Rugose Fruit Virus) en Suisse, des mesures urgentes ont été édictées en 2019. Les semences de tomates et de poivrons ne peuvent être importées et mises en circulation qu’avec un passeport phytosanitaire (production dès 2020). Cela vaut aussi pour le déplacement des semences à des fins non agricoles et vendues à des particuliers. Seule la vente directe à des privés sur place n’est pas soumise au passeport phytosanitaire. Dans la vente à distance, le passeport phytosanitaire est obligatoire aussi lors de la vente aux particuliers.

 

Pour toutes questions, adressez-vous au Service phytosanitaire fédéral phyto@blw.admin.ch

 

Plus d'informations:

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Du coté des membres CPC

Visite de la ZHAW : Vins zurichois et fraises conservées à -200°C

"Environ 150 à 180 personnes utilisent notre collection de cépages pour leur formation", explique Peter Schumacher, professeur de viticulture et de physiologie végétale à la ZHAW de Wädenswil. Le musée au pied du vignoble témoigne de l'ancienne étendue de la région viticole. Une carte montre l'énorme déclin de la viticulture autour du lac de Zurich. Mais une surface cultivée plus petite ne signifie pas une diversité réduite : la collection de la ZHAW sur le lac de Zurich contient environ 260 cépages.

Le terrain du campus de la ZHAW est situé à quelques kilomètres au sud-est de la collection de vignes, juste à la sortie de Wädenswil. Le jardin potager de la ZHAW existe depuis 2003, mais depuis 2018, il n'est plus financé par l’OFAG, de nouvelles façons de l'utiliser sont donc recherchées. En conséquence, moins de variétés y sont désormais cultivées, les étudiants participent à l'entretien du jardin et davantage de visites guidées du jardin sont organisées. On y trouve des plantes cultivées anciennes telles que le sarrasin, la barbe de moine et la trigonelle bleue, comme l'explique Guido Kunz, responsable du jardin.

À quelques mètres seulement, se trouve la collection de pommes de la ZHAW, directement derrière des cultures haute tige et une sélection de Cornus mas, de cerisiers, d'amandiers et de kakis, qui sont disponibles pour la formation des étudiants - le tout dans une culture purement biologique. La collection de pommiers, qui fait partie de la « Core collection » du PAN, pousse sous le voile protecteur d'un filet de grêle et comprend environ 430 variétés. 330 groupes de gènes ont été sélectionnés par l'ETH, les espèces de référence d’Agroscope et les variétés de la collection Kessler y ont aussi trouvé leur place.

 

Un autre projet du PAN actuellement mis en œuvre à la ZHAW est la conservation de 81 variétés de fraises figurant sur la liste positive de l'OFAG. "En coopération avec l'Institut Julius Kühn en Allemagne, nous avons réussi à développer un système de conservation par cryogénèse plus efficace que la conservation in vitro pour les petits fruits", rapporte Julia Lietha, qui coordonne le projet. Les plantes individuelles ont donc été transférées définitivement de la collection in vitro à Agroscope Changins à la ZHAW à Wädenswil où elles sont en cours de cryopréservation. Le protocole prévoit de les décongeler afin de les faire pousser en pot jusqu'à ce qu'elles soient suffisamment grandes pour être transférées dans la collection in-situ, une serre à l’épreuve des insectes. L'OFAG prévoit en plus la conservation des variétés dans la collection de plein champ à Riehen, gérée par ProSpecieRara.

Unique en Suisse

Une cryo-collection comme celle qui est mise en place à la ZHAW de Wädenswil est une nouveauté nationale et le protocole est complexe : tout d'abord, chaque plante doit être mise in vitro dans des conditions stériles. Une fois qu’elle est assez grande, un scalpel est utilisé afin de dégager le méristème, constitué uniquement de cellules souches. Le méristème est ensuite traité avec une solution « antigel », ce qui lui permet de survivre à l'état congelé. Les méristèmes sont ensuite stockés dans des conteneurs d'azote liquide à -196°C.

Si le méristème est endommagé, la plante ne pourra probablement plus germer. Par conséquent, pour garantir les chances de réussite de l'accès au matériel végétal congelé, il faut traiter et stocker le plus grand nombre possible d'accessions. Le taux de croissance varie d'une variété à l'autre et se situe entre quarante et huitante pour cent. Une entreprise à forte intensité de main-d'œuvre. Néanmoins, le travail en vaut la peine : une fois les méristèmes stockés, il est possible de garantir le stockage fiable des plantes pendant des décennies sans effort supplémentaire.

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Des nouvelles de BEVOG IV et NUVOG II

Les projets BEVOG IV et NUVOG II de Fructus sont réalisés avec le soutien du PAN-RPGAA avec la collaboration d’Agroscope à Wädenswil. La Commission Pomologique s'est réunie pour la dernière fois les 4 et 5 décembre 2019 avec la tâche d'identifier et de fusionner les accessions de fruits génétiquement identiques. Dans le cadre des deux projets, la sensibilité de diverses variétés de fruits à des agents pathogènes communs, leur durée de conservation, les utilisations possibles des différentes variétés et de nombreux autres attributs sont également examinés. Les résultats sont disponibles sur le site web du projet. Vous trouverez de plus amples informations sur la mise en œuvre de la collecte de données et des essais ici.

 

Plus d'informations:

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Série « Plantes cultivées en Suisse » maintenant disponible en version papier

La série "Plantes cultivées en Suisse" de Peer Schilperoord donne un aperçu sur l'histoire des plantes cultivées en Suisse, la diversité des variétés et leur conservation. Jusqu’à présent, 15 numéros ont été publiés en français et en allemand ; ils sont disponibles sous forme de fichiers PDF sur Internet. En outre, les versions imprimées des dix derniers numéros peuvent être commandées avant la fin du mois d'octobre. Les informations nécessaires se trouvent ici.

 

Plus d'informations:

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National

Quel avenir pour les semences ?

Le 18 septembre 2020, la CPC a participé à la table ronde publique "Semences pour l'avenir" à Zurich, au cours de laquelle la recherche, la sélection et la multiplication des semences en Suisse ont été abordées. Nous vous rapportons ci-après l’essentiel des discussions:

Malgré le choix croissant de semences dans les catalogues des sélectionneurs, la diversité génétique connait un déclin drastique. Cette tendance est en partie due au fait que la demande est principalement dirigée vers les semences homogènes. Bien que de nouvelles variétés soient constamment créées, elles sont si génétiquement similaires qu'il est presque impossible de les distinguer les unes des autres. En même temps, les éleveurs savent que sans variabilité génétique, aucun nouveau croisement n'est possible. Chaque sélectionneur a donc une motivation intrinsèque pour promouvoir et maintenir la diversité génétique.

Vraiment tous les sélectionneurs ?

Cependant, les sélectionneurs ne sont pas aussi unis dans leur soutien à la conservation des ressources génétiques qu'on pourrait le supposer au départ. Les brevets sur les aides techniques et les semences de sélection divisent la communauté des sélectionneurs : d'une part, les entreprises protègent leurs possibilités illimitées à l'aide de brevets ; d'autre part, il existe de petits sélectionneurs qui font des croisements et cultivent avec des moyens conventionnels. Mais les brevets ne sont pas mauvais en soi : ils sont en fait destinés à couvrir les coûts de développement d'une nouvelle méthode ou d'un nouveau produit et, au mieux, de réaliser un bénéfice. Mais cela devient délicat, lorsque les brevets sont apposés sur des ressources vitales telles que les semences, quand ils servent à accroître le pouvoir de quelques grandes entreprises et si la diversité des variétés en souffre.

Ainsi, dans quelle mesure la société veut-elle autoriser les brevets dans le domaine de la sélection et sur le marché des semences ? Et comment pouvons-nous protéger la diversité des variétés afin de garantir la sécurité alimentaire ?

Ce sont des questions que les politiciens doivent continuer à traiter. En effet, bien que le système des brevets n'ait aucune tradition en ce qui concerne la sélection en Europe, il se répand à partir du continent américain vers l’Europe avec le génie génétique moderne. Une tendance, qui devrait être renforcée par les nouvelles découvertes dans le domaine des méthodes de biologie moléculaire. Non seulement les méthodes d'édition du génome telles que CRISPR et TALEN sont beaucoup plus rapides que la sélection conventionnelle, mais les deux méthodes sont également brevetées et ne sont commercialement applicables que pour ceux qui peuvent se les payer.

Patauger dans le pool des gênes

Ces procédures rapides et efficaces offrent naturellement aussi certaines possibilités. Par exemple, ces méthodes pourraient être utilisées pour développer des variétés résistantes qui rendraient inutile l'utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ces tentations doivent cependant être traitées avec prudence, car les effets et les effets secondaires de l'édition du génome n'ont pas encore été suffisamment étudiés. C'est un fait qui devrait inciter à la prudence, surtout au vu de la rapidité potentielle de ces nouvelles méthodes. De plus, les possibilités apparemment infinies pourraient conduire à une dangereuse "pensée modulaire", où l'euphorie ferait oublier qu'on intervient dans les semences, et donc dans la sécurité alimentaire. Dans ce contexte d'incohérences, il est conseillé d'envisager des solutions ayant un potentiel de dommages plus faible. Pour le moment, par exemple, des formes alternatives d'agriculture pourraient être expérimentées : par exemple, les cultures mixtes offrent également une protection fiable contre les infestations de parasites et réduisent ainsi l'utilisation de pesticides. Et le potentiel de la sélection conventionnelle - dont l'efficacité a été démontrée - est loin d'être épuisé. En intégrant les technologies modernes, la sélection conventionnelle pourrait être rendue plus efficace.

Promouvoir la sécurité de l'approvisionnement en semences

La sécurité de l'approvisionnement en semences ne peut jamais être totalement garantie, car une part importante dépend de la nature. Ce qui favorise la sécurité de l'approvisionnement en semences, cependant, c'est le développement des compétences nationales en matière de production de semences. Plus la production locale de semences est possible, plus la sécurité d'approvisionnement est grande.

La sécurité de l'approvisionnement en semences est un problème mondial critique dans pour lequel chaque pays doit décider lui-même de la meilleure façon de le traiter. Il est toujours utile de se tourner vers les pays voisins, en particulier l'UE, pour apprendre comment ils traitent la question de la sécurité de l'approvisionnement en semences.

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